Lorsque le terrain n’était encore que mon site de cueillette, j’avais repéré un pied de scrofulaire, sans vraiment chercher plus loin dans la détermination. Elle avait disparue par manque d’entretien dû au manque de temps. Mais après ouverture du milieu (débroussaillage, fauche, tonte, suivant les endroits), elle est réapparue, d’abord un pieds, maintenant plusieurs, dans un endroit qui lui convient bien. Je la connaissais toxique mais savais aussi qu’elle pouvait avoir un côté médicinal. Je m’étais dit de faire quelques recherche, un jour … quand j’aurais du temps …
Mais ce matin je suis tombée sur cet article d’Althea Provence : ici . Je me suis emballée en lisant ses propriétés et je me suis dit que c’était de la scrofulaire noueuse, sans même regarder s’il y en avait plusieurs espèces … quelle débutante 🤪 Heureusement que les collègues veillent au grain ! (J’aurais quand même fait la détermination précise de la plante avant de commencer une transfo). Donc j’ai de la scrofulaire aquatique.
Un bel exemple qui montre que la botanique, ce n’est pas de l’à peut près et qu’il faut toujours rester vigilant
Après de rapides recherches sur internet, les 2 scrofulaires, la noueuse et l’aquatique auraient les mêmes propriétés. Il ne reste plus qu’à creuser pour vérifier tout ça !
Je viens compléter l’article dès que j’ai de nouvelles infos et j’ajouterais des photos ! Et peut-être qu’il y aura bientôt de l’harpagophytum local dans la gamme …